Sanctuaire Notre-Dame-du-Très-Saint-Sacrement  
Église Saint-Christophe d’Arthabaska Église Sainte-Brigide Saint-Jean-L'Évangéliste
Église de Saint-Isidore de La Prairie
 
 

« Muni de cinq listes de décorations d’églises provenant des archives de l’archevêché de Montréal et de quelques papiers de famille, j’ai voyagé d’une province à l’autre du Canada, d’église en église, de chapelle en chapelle pour retrouver les œuvres de T.-X. Renaud. Encouragé par la disponibilité de ceux à qui je m’adressais, j’ai découvert, au fil de mes recherches, un patrimoine d’une impressionnante richesse.


Quarante ans après sa mort, mon grand-père m’aura inculqué, à 60 ans, le goût de l’art sacré. De 1988 à 2003, quinze années de labeur m’ont permis de préciser les sources d’influences que l’artiste exploita dès le début de sa carrière professionnelle.

Malgré quelques dates difficiles à cerner, j’ai fait mon possible pour que soient exacts l’histoire et la description de chaque temple où Renaud a laissé son empreinte. Depuis la fin de mes recherches, en 2004, il pourrait y avoir eu modification intérieure de quelques églises ou chapelles, mais non dans celles où il y a conservation intégrale de Napoléon Bourassa (le maître de Renaud), de François-Édouard Meloche (dont il fut le collaborateur immédiat pendant 15 ans) et, bien sûr, de Toussaint-Xénophon Renaud lui-même.

Quinze ans se sont écoulés depuis le début de mes recherches. Souhaitons que ma tardive curiosité contribuera à faire connaître, à mes compatriotes, quelques lieux de culte sauvés de la bêtise et de l’insouciance des années 1955 à 1970. »

- Marc Renaud

Pochoir servant à la décoration

Pattes de lièvre utilisées
pour polir l'or.

Les peignes en cuivre pour veiner en imitation de bois : chêne, merisier, frêne, érable, etc.

 

 

© Marc Renaud 2008